Armelle présente son deuxième fils Douglas pour Paris Match.
Armelle Gysen d’Aspremont Lynden présente son deuxième fils Douglas en exclusivité pour Paris Match. Couverture et 10 pages.
Le sens de la famille.
Deux bébés en deux ans. Après avoir attendu des années pour devenir maman, Armelle efface les larmes grâce à l’ énergie positive.
Un double sourire. Le symbole d’un bonheur énorme. Comme une éclaircie dans un monde tempétueux, où les mauvaises nouvelles se bousculent comme les nuages. Mais ici, ils appartiennent au passé. Né le 26 juin dernier, le petit Douglas a rejoint son frère Gatien au château de Ry. Un domaine qui revit depuis l’arrivée d’Armelle Gysen, animatrice de la RTBF, devenue comtesse par son mariage avec le seigneur du château : le comte Frédéric d’Aspremont Lynden. Un mec bien. Pour une femme solaire qui a trop souffert.
Trois ans après, les gazouillis de bébé se mélangent à ceux des oiseaux dans la campagne namuroise. Pour offrir un tableau réjouissant : il y a encore des couples heureux.
Heureuse animatrice à la RTBF de « Méfiez-vous des idées reçues » (dont elle vient d’enregistrer deux nouvelles thématiques) et châtelaine en vogue (le domaine de Ry est très demandé), Armelle d’Aspremont Lynden vit surtout un bonheur sans fin depuis la naissance de son deuxième fils, Douglas.
Tout rit au château de Ry.
L’amour lui va bien : Armelle a déjà retrouvé sa taille mannequin. « J’ai pris six kilos de moins que lors de ma première grossesse, que j’ai vécue dans un bonheur sans contrainte. Ceci justifie sans doute cela », sourit-elle sur les (nombreux) chemins avoisinants du château de Ry. Elle voulait donc un deuxième bébé si rapidement, qu’importe la fatigue ? « Je ne sais pas si deux enfants en deux ans est si rapide. Ce qui est certain, c’est qu’à mon âge, oui, c’est fatigant ! Cela dit, nous avons une chance folle : Douglas dort comme un ange depuis l’âge de 2 mois. C’est un bébé serein. Nous passons parfois cinq jours d’affilée sans qu’il ait pleuré, il rit énormément lorsqu’on communique avec lui. Mais le train d’enfer que nous vivons pour dynamiser notre activité en plein démarrage est éprouvant. » Transformé, modernisé, le château de Ry vient de vivre la première saison de sa renaissance, et faire d’une maison de famille un lieu de travail et de séminaire est un sacré pari. « Nous sommes satisfaits de cette première année », explique l’animatrice. « Nous avons beaucoup travaillé. Les entreprises se sont à chaque fois montrées comblées par ce que nous leur proposions. On travaille à Ry dans un cadre exceptionnel, très au calme, disposant de toutes les technologies modernes de communication et jouissant d’un confort qui invite à la réflexion. Notre situation centrale nous permet d’accueillir des entreprises venant de Bruxelles, de Namur, de Liège mais aussi du Luxembourg. »
L’arrivée de Douglas lui donne l’énergie pour diriger son domaine avec son mari : « Parallèlement aux séminaires et aux différents rendez-vous qui se
déroulent chez nous, nous accueillerons, au mois d’avril, un événement exceptionnel en recevant le créateur Bernard Depoorter. Totalement autodidacte, il travaillait à 20 ans comme créatif dans les ateliers des grandes maisons de couture parisiennes – dont la maison Dior – et
il viendra nous présenter en exclusivité sa nouvelle collection devant un parterre tout à fait remarquable. Je voudrais ainsi recevoir ponctuellement
des personnalités représentant notre savoir-faire ou notre savoir-être belge. Nous avons d’autres projets encore, musicaux, gastronomiques aussi… »
Douglas et les grandes familles écossaises.
Douglas est né sous le signe du Cancer. « Plus amusant qu’important », précise sa maman. « Pour Gatien, nous étions en pleine construction de nos
projets, nous nous battions pour avancer et je voulais un signe fort pour cet enfant qui prendrait un jour la relève et serait confronté aux difficultés de cette maison. Gatien est né huit jours plus tard que la date annoncée, il était donc Lion… Pour Douglas, arrivé quinze jours en avance (c’est donc un plus petit bébé : à la naissance, il avait 1 kg et 10 cm de moins que son aîné), nous savions d’avance qu’il serait Cancer, un signe qui a le sens de la famille… Mon mari est Taureau et moi, je suis Verseau ascendant Verseau. Pour ceux qui croient en l’astrologie, c’est tout un programme ! » Et pour ceux qui préfère la prénominologie, le prénom Douglas a été choisi pour sa sonorité et son allure. Il renvoie d’ailleurs à l’Ecosse et à ses grandes familles. « J’ai été très surprise de me découvrir aussi émue en apprenant que j’attendais à nouveau un fils. Savoir que j’aurais deux garçons me donnait une meilleure image de la famille que nous construisions. Avoir un enfant est un tel cadeau que, garçon ou fille, peu importe, mais cette configuration familiale nous enchante. Frédéric est fou de joie. Et puis, à la campagne, avoir deux fils, c’est plutôt bien pour les coups de main ! »
Armelle incarne la quarantaine féminine dans toute sa splendeur : sa collaboration avec les produits de beauté Olaz, dont elle est le visage officiel en Belgique francophone, vient d’être reconduite.
Bercé de génération en génération.
« Douglas est un bébé d’une tendresse infinie. Il m’émeut beaucoup. Nouveau-né, il était extrêmement fin. Il est né avec des cheveux – mais beaucoup moins que Gatien – et m’a souri immédiatement. » Il dort dans une pièce du château entièrement réaménagée. Beaucoup de travail, mais une maman enthousiaste. « J’ai eu l’immense bonheur de collaborer avec une marque belge de chambre d’enfants vendues à travers le monde. Une marque qui a été choisie par Brad Pitt et Angelina Jolie, notamment, pour la chambre d’un de leurs enfants. Avec la créatrice de la marque, qui est une amie, nous avons choisi dans ses collections ce qui s’adaptait le mieux à notre maison. Nous avons aimé la toile de jouy, les meubles classiques, les différentes peluches, les malles en osier pour garder l’esprit de la campagne et le berceau qui est un rêve de tulle et de mousseline… En intégrant la maison que nous habitons aujourd’hui, j’ai renoué avec la qualité et le sens donné aux choses. Dans ces maisons, les choix sont faits pour durer. Ces meubles de qualité, preuves de notre grand savoir-faire belge, se transmettront de génération en génération. Me dire que mes petits-enfants dormiront un jour
dans ce berceau a du sens pour moi… »
Dans un cadre de rêve, des moments si souvent rêvés : « Il y a quelques années, je pensais ne jamais pouvoir devenir maman. Alors, fonder une famille me paraît parfois encore irréel. »